En novembre 2013, la Galerie Vallois présentait sa première exposition du photographe italien Franco Pagetti, Voiles d’Alep, œuvre sublime et tragique qui révélait les stigmates laissés par la guerre sur la ville syrienne. Photographe de presse depuis 1997, Franco Pagetti est réputé pour ses nombreux reportages en zones de conflit.
Il revient à la galerie du 4 au 27 avril 2024 avec un travail pour le moins inattendu : Crazy, une série de clichés réalisée dans les coulisses du cabaret mythique, le Crazy Horse.
Une exposition sous le commissariat de Jean-Yves Augel, dans le cadre de la 17ème édition du festival Caravane des Cinémas d'Afrique.
En partenariat avec la Galerie Vallois
Avec les oeuvres de Ninon Aglingo, Didier Ahadji, Gopal Amah, Eric Bottero, Bruce Clarke, Marius Dansou, Catherine De Clippel, Kifouli Dossou, Wabi Dossou, Euloge Glèlè, Richard Korblah, Brice Lokossou, Makef, Sophie Négrier, Gérard Quenum, Rémy Samuz, Nathanaël Vodouhè, Dominique Zinkpè...
Espace Culturel Jean Salles
20 rue Châtelain
69110 Sainte-Foy-lès-Lyon
Pour cette première édition du salon Ceramic Brussels qui se déroulera à Tour & Taxis, la Galerie Vallois présentera des oeuvres de Tania Antoshina et de King Houndekpinkou.
STAND A13
Du photoreporter Franco Pagetti à Pierre Molinier, de Helmut Newton à Yujiro Otsuki, de Coco Fronsac à Ruytchi Souzouki l’exposition L’œil photographique présentée au 35 rue de Seine du 2 novembre au 2 décembre invite à voir le monde à travers les regards de ces artistes. Certains en révèlent la beauté, d’autres la violence, comme autant de prismes où se poseraient nos propres yeux.
Comment la photographie peut-elle donner à voir l’invisible ?
L’exposition Visions du sacré, présentée à la Galerie Vallois du 41 rue de Seine du 2 novembre au 2 décembre, réunit autour de cette question deux artistes d’âge et de parcours différents : Gopal Amah et Éric Bottero.
C’est au Bénin, berceau du vaudou, terre mystique par excellence, que chacun s’est confronté à des thématiques liées au sacré ; Gopal Amah dans sa série Des masques et des dieux, consacrée aux Égungún (revenants dans le culte yoruba), Éric Bottero à travers son travail autour de la forêt sacré de Ouidah.
Né en 1971 à la Havane, Roberto Diago a été formé à la prestigieuse Academia San Alejandro.
Il devient rapidement l’un des principaux représentants de cette génération d’artistes cubains qui a grandi avec l’embargo économique décrété et imposé par les États-Unis en 1962.
L’œuvre de Diago trouve sa source dans l’histoire du peuple cubain, issu de métissages, de la rencontre imposée par le commerce des esclaves des Caribéens, des Espagnols et des Africains.
Cette exposition, la seconde que la Galerie Vallois consacre à ce grand artiste, explore les différentes facettes de son œuvre. Elle succède à une grande exposition monographique de Roberto Diago à la Fondation Clément en Martinique qui fut présentée de mars à mai 2023