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Léopold Poyet, D'UN CORPS À L'AUTRE

2024-12-05 / 2024-12-21
expos

Utilisant la photographie comme point de départ, Léopold pratique aussi bien le dessin, qu’il travaille en « douceur et onctuosité », que la gravure dont il apprécie les qualités d’« intensité » et de « rugosité », navigant ainsi entre réalisme et un certain romantisme noir. La texture, la matière sont en effet centrales dans son œuvre : « J’aborde cette exposition comme la troisième [après Corps abyssal en 2021 et Delikatessen en 2023] d’une série d’explorations du corps : une recherche autour des limites et des sensations corporelles au travers d’une imagerie animale soigneusement développée pour mettre en lumière des liens avec mon propre corps, des rapports de contention, d’absence, de défense, de vulnérabilité, le sexe, la mort, etc. »

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  • Vallois - <p>
	Utilisant la photographie comme point de départ, Léopold pratique aussi bien le dessin, qu’il travaille en « douceur et onctuosité », que la gravure dont il apprécie les qualités d’« intensité » et de « rugosité », navigant ainsi entre réalisme et un certain romantisme noir. La texture, la matière sont en effet centrales dans son œuvre : « J’aborde cette exposition comme la troisième [après Corps abyssal en 2021 et Delikatessen en 2023] d’une série d’explorations du corps : une recherche autour des limites et des sensations corporelles au travers d’une imagerie animale soigneusement développée pour mettre en lumière des liens avec mon propre corps, des rapports de contention, d’absence, de défense, de vulnérabilité, le sexe, la mort, etc. »</p>
  • Vallois - <p>
	Utilisant la photographie comme point de départ, Léopold pratique aussi bien le dessin, qu’il travaille en « douceur et onctuosité », que la gravure dont il apprécie les qualités d’« intensité » et de « rugosité », navigant ainsi entre réalisme et un certain romantisme noir. La texture, la matière sont en effet centrales dans son œuvre : « J’aborde cette exposition comme la troisième [après Corps abyssal en 2021 et Delikatessen en 2023] d’une série d’explorations du corps : une recherche autour des limites et des sensations corporelles au travers d’une imagerie animale soigneusement développée pour mettre en lumière des liens avec mon propre corps, des rapports de contention, d’absence, de défense, de vulnérabilité, le sexe, la mort, etc. »</p>
  • Vallois - <p>
	Utilisant la photographie comme point de départ, Léopold pratique aussi bien le dessin, qu’il travaille en « douceur et onctuosité », que la gravure dont il apprécie les qualités d’« intensité » et de « rugosité », navigant ainsi entre réalisme et un certain romantisme noir. La texture, la matière sont en effet centrales dans son œuvre : « J’aborde cette exposition comme la troisième [après Corps abyssal en 2021 et Delikatessen en 2023] d’une série d’explorations du corps : une recherche autour des limites et des sensations corporelles au travers d’une imagerie animale soigneusement développée pour mettre en lumière des liens avec mon propre corps, des rapports de contention, d’absence, de défense, de vulnérabilité, le sexe, la mort, etc. »</p>
  • Vallois - <p>
	Utilisant la photographie comme point de départ, Léopold pratique aussi bien le dessin, qu’il travaille en « douceur et onctuosité », que la gravure dont il apprécie les qualités d’« intensité » et de « rugosité », navigant ainsi entre réalisme et un certain romantisme noir. La texture, la matière sont en effet centrales dans son œuvre : « J’aborde cette exposition comme la troisième [après Corps abyssal en 2021 et Delikatessen en 2023] d’une série d’explorations du corps : une recherche autour des limites et des sensations corporelles au travers d’une imagerie animale soigneusement développée pour mettre en lumière des liens avec mon propre corps, des rapports de contention, d’absence, de défense, de vulnérabilité, le sexe, la mort, etc. »</p>