Né à Cotonou en 1989, journaliste de formation, Gopal Amah a eu plusieurs fois l’occasion de photographier les Égungún, entre les villes historiques de Porto-Novo et Ouidah. Pour les yorubas, l’âme des ancêtres s’incarne dans ces figures masquées et vêtues de costumes chatoyants, qui dansent au cours de cérémonies en l’honneur des morts. A partir de ce sujet éminemment photogénique, traité par de nombreux artistes, Gopal Amah donne une direction originale à son travail. Il extrait de son contexte la figure de l’Égungún, qui flotte ainsi dans un espace indéterminé, telle une apparition divine, puis joue avec la luminosité, les couleurs et les effets de matière, créant une atmosphère onirique et mystérieuse, propice à une réflexion sur le passage du temps et sur le sacré.

ERIC BOTTERO

Eric Bottero, photographe né à Paris en 1968, s’est pris de passion pour le Bénin après une résidence d’artiste au Centre à Cotonou en 2017. Il y est retourné et a réalisé plusieurs séries de clichés, dont une consacrée à la forêt sacrée de Kpassè à Ouidah, haut lieu du vaudou. Cet îlot forestier est lié à un épisode de la vie du roi Kpassè, deuxième roi de Savi et véritable fondateur du royaume houéda (annexé par le royaume du Dahomey en 1727). Vers le milieu du XVIIème siècle, le roi aurait disparu, avant de réapparaître au cœur de la forêt, dans un pied d'iroko. Siège d'un phénomène surnaturel, l'arbre est devenu sacré. Les photographies en négatif noir et blanc prises par Eric Bottero nous plongent dans une atmosphère nocturne et fantastique propre à restituer le mystère de la légende. Empruntant à l’esthétique chrétienne, l’artiste imprime ses clichés sur de la feuille d’or, les transformant en icônes, et utilise la structure en triptyque, écho aux retables d’église. L’image est ainsi sacralisée.

Né à Cotonou en 1989, journaliste de formation, Gopal Amah a eu plusieurs fois l’occasion de photographier les Égungún, entre les villes historiques de Porto-Novo et Ouidah. Pour les yorubas, l’âme des ancêtres s’incarne dans ces figures masquées et vêtues de costumes chatoyants, qui dansent au cours de cérémonies en l’honneur des morts. A partir de ce sujet éminemment photogénique, traité par de nombreux artistes, Gopal Amah donne une direction originale à son travail. Il extrait de son contexte la figure de l’Égungún, qui flotte ainsi dans un espace indéterminé, telle une apparition divine, puis joue avec la luminosité, les couleurs et les effets de matière, créant une atmosphère onirique et mystérieuse, propice à une réflexion sur le passage du temps et sur le sacré.

ERIC BOTTERO

Eric Bottero, photographe né à Paris en 1968, s’est pris de passion pour le Bénin après une résidence d’artiste au Centre à Cotonou en 2017. Il y est retourné et a réalisé plusieurs séries de clichés, dont une consacrée à la forêt sacrée de Kpassè à Ouidah, haut lieu du vaudou. Cet îlot forestier est lié à un épisode de la vie du roi Kpassè, deuxième roi de Savi et véritable fondateur du royaume houéda (annexé par le royaume du Dahomey en 1727). Vers le milieu du XVIIème siècle, le roi aurait disparu, avant de réapparaître au cœur de la forêt, dans un pied d'iroko. Siège d'un phénomène surnaturel, l'arbre est devenu sacré. Les photographies en négatif noir et blanc prises par Eric Bottero nous plongent dans une atmosphère nocturne et fantastique propre à restituer le mystère de la légende. Empruntant à l’esthétique chrétienne, l’artiste imprime ses clichés sur de la feuille d’or, les transformant en icônes, et utilise la structure en triptyque, écho aux retables d’église. L’image est ainsi sacralisée.

Né à Cotonou en 1989, journaliste de formation, Gopal Amah a eu plusieurs fois l’occasion de photographier les Égungún, entre les villes historiques de Porto-Novo et Ouidah. Pour les yorubas, l’âme des ancêtres s’incarne dans ces figures masquées et vêtues de costumes chatoyants, qui dansent au cours de cérémonies en l’honneur des morts. A partir de ce sujet éminemment photogénique, traité par de nombreux artistes, Gopal Amah donne une direction originale à son travail. Il extrait de son contexte la figure de l’Égungún, qui flotte ainsi dans un espace indéterminé, telle une apparition divine, puis joue avec la luminosité, les couleurs et les effets de matière, créant une atmosphère onirique et mystérieuse, propice à une réflexion sur le passage du temps et sur le sacré.

ERIC BOTTERO

Eric Bottero, photographe né à Paris en 1968, s’est pris de passion pour le Bénin après une résidence d’artiste au Centre à Cotonou en 2017. Il y est retourné et a réalisé plusieurs séries de clichés, dont une consacrée à la forêt sacrée de Kpassè à Ouidah, haut lieu du vaudou. Cet îlot forestier est lié à un épisode de la vie du roi Kpassè, deuxième roi de Savi et véritable fondateur du royaume houéda (annexé par le royaume du Dahomey en 1727). Vers le milieu du XVIIème siècle, le roi aurait disparu, avant de réapparaître au cœur de la forêt, dans un pied d'iroko. Siège d'un phénomène surnaturel, l'arbre est devenu sacré. Les photographies en négatif noir et blanc prises par Eric Bottero nous plongent dans une atmosphère nocturne et fantastique propre à restituer le mystère de la légende. Empruntant à l’esthétique chrétienne, l’artiste imprime ses clichés sur de la feuille d’or, les transformant en icônes, et utilise la structure en triptyque, écho aux retables d’église. L’image est ainsi sacralisée.

Né à Cotonou en 1989, journaliste de formation, Gopal Amah a eu plusieurs fois l’occasion de photographier les Égungún, entre les villes historiques de Porto-Novo et Ouidah. Pour les yorubas, l’âme des ancêtres s’incarne dans ces figures masquées et vêtues de costumes chatoyants, qui dansent au cours de cérémonies en l’honneur des morts. A partir de ce sujet éminemment photogénique, traité par de nombreux artistes, Gopal Amah donne une direction originale à son travail. Il extrait de son contexte la figure de l’Égungún, qui flotte ainsi dans un espace indéterminé, telle une apparition divine, puis joue avec la luminosité, les couleurs et les effets de matière, créant une atmosphère onirique et mystérieuse, propice à une réflexion sur le passage du temps et sur le sacré.

ERIC BOTTERO

Eric Bottero, photographe né à Paris en 1968, s’est pris de passion pour le Bénin après une résidence d’artiste au Centre à Cotonou en 2017. Il y est retourné et a réalisé plusieurs séries de clichés, dont une consacrée à la forêt sacrée de Kpassè à Ouidah, haut lieu du vaudou. Cet îlot forestier est lié à un épisode de la vie du roi Kpassè, deuxième roi de Savi et véritable fondateur du royaume houéda (annexé par le royaume du Dahomey en 1727). Vers le milieu du XVIIème siècle, le roi aurait disparu, avant de réapparaître au cœur de la forêt, dans un pied d'iroko. Siège d'un phénomène surnaturel, l'arbre est devenu sacré. Les photographies en négatif noir et blanc prises par Eric Bottero nous plongent dans une atmosphère nocturne et fantastique propre à restituer le mystère de la légende. Empruntant à l’esthétique chrétienne, l’artiste imprime ses clichés sur de la feuille d’or, les transformant en icônes, et utilise la structure en triptyque, écho aux retables d’église. L’image est ainsi sacralisée.