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Sandra Saab, PYXIS
2022-12-01 / 2022-12-23General
Le père de Sandra était amateur de cigares, aussi ces boîtes ont-elles toujours fait partie du quotidien de l’artiste. Elle avait l’habitude d’y stocker de petits objets, puis elle les a assemblées pour faire des meubles, avant de s’en servir comme écrin pour sa série des Pyxis, du nom de ce vase en terre servant de coffret à bijoux dans la Grèce antique.
Ce travail a pris tout son sens pendant la période du confinement, permettant à Sandra de traduire son angoisse de l’enfermement et par là-même de la conjurer. Explorant « cette boîte à multiple fond qui s’appelle l’homme” (André Breton, dans son Dictionnaire abrégé du surréalisme), Sandra Saab traduit dans ses figures d’argile le large spectre des émotions humaines : tristesse, mélancolie, passion, sensualité… Appartenant de par leur petit format à la sphère intime, ces œuvres célèbrent l’hédonisme et nous invitent au carpe diem.
Sandra Alexis Saab est née au Liban en 1972 et a grandi à Monaco. Diplômée d’architecture intérieure à l’Académie Charpentier à Paris en 1995, elle se diversifie en réalisant des meubles, portraits, illustrations publicitaires et cinématographiques, storyboards, scénographies, photographies, peintures, sculptures, trompe l’œil… Elle participe à des projets qui la conduisent à New York et au Bahreïn, expose dans des galeries et salons en France, en Europe et au Mexique, remportant plusieurs prix dans diverses disciplines.
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Le père de Sandra était amateur de cigares, aussi ces boîtes ont-elles toujours fait partie du quotidien de l’artiste. Elle avait l’habitude d’y stocker de petits objets, puis elle les a assemblées pour faire des meubles, avant de s’en servir comme écrin pour sa série des Pyxis, du nom de ce vase en terre servant de coffret à bijoux dans la Grèce antique.
Ce travail a pris tout son sens pendant la période du confinement, permettant à Sandra de traduire son angoisse de l’enfermement et par là-même de la conjurer. Explorant « cette boîte à multiple fond qui s’appelle l’homme” (André Breton, dans son Dictionnaire abrégé du surréalisme), Sandra Saab traduit dans ses figures d’argile le large spectre des émotions humaines : tristesse, mélancolie, passion, sensualité… Appartenant de par leur petit format à la sphère intime, ces œuvres célèbrent l’hédonisme et nous invitent au carpe diem.
Sandra Alexis Saab est née au Liban en 1972 et a grandi à Monaco. Diplômée d’architecture intérieure à l’Académie Charpentier à Paris en 1995, elle se diversifie en réalisant des meubles, portraits, illustrations publicitaires et cinématographiques, storyboards, scénographies, photographies, peintures, sculptures, trompe l’œil… Elle participe à des projets qui la conduisent à New York et au Bahreïn, expose dans des galeries et salons en France, en Europe et au Mexique, remportant plusieurs prix dans diverses disciplines.
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Le père de Sandra était amateur de cigares, aussi ces boîtes ont-elles toujours fait partie du quotidien de l’artiste. Elle avait l’habitude d’y stocker de petits objets, puis elle les a assemblées pour faire des meubles, avant de s’en servir comme écrin pour sa série des Pyxis, du nom de ce vase en terre servant de coffret à bijoux dans la Grèce antique.
Ce travail a pris tout son sens pendant la période du confinement, permettant à Sandra de traduire son angoisse de l’enfermement et par là-même de la conjurer. Explorant « cette boîte à multiple fond qui s’appelle l’homme” (André Breton, dans son Dictionnaire abrégé du surréalisme), Sandra Saab traduit dans ses figures d’argile le large spectre des émotions humaines : tristesse, mélancolie, passion, sensualité… Appartenant de par leur petit format à la sphère intime, ces œuvres célèbrent l’hédonisme et nous invitent au carpe diem.
Sandra Alexis Saab est née au Liban en 1972 et a grandi à Monaco. Diplômée d’architecture intérieure à l’Académie Charpentier à Paris en 1995, elle se diversifie en réalisant des meubles, portraits, illustrations publicitaires et cinématographiques, storyboards, scénographies, photographies, peintures, sculptures, trompe l’œil… Elle participe à des projets qui la conduisent à New York et au Bahreïn, expose dans des galeries et salons en France, en Europe et au Mexique, remportant plusieurs prix dans diverses disciplines.
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Le père de Sandra était amateur de cigares, aussi ces boîtes ont-elles toujours fait partie du quotidien de l’artiste. Elle avait l’habitude d’y stocker de petits objets, puis elle les a assemblées pour faire des meubles, avant de s’en servir comme écrin pour sa série des Pyxis, du nom de ce vase en terre servant de coffret à bijoux dans la Grèce antique.
Ce travail a pris tout son sens pendant la période du confinement, permettant à Sandra de traduire son angoisse de l’enfermement et par là-même de la conjurer. Explorant « cette boîte à multiple fond qui s’appelle l’homme” (André Breton, dans son Dictionnaire abrégé du surréalisme), Sandra Saab traduit dans ses figures d’argile le large spectre des émotions humaines : tristesse, mélancolie, passion, sensualité… Appartenant de par leur petit format à la sphère intime, ces œuvres célèbrent l’hédonisme et nous invitent au carpe diem.
Sandra Alexis Saab est née au Liban en 1972 et a grandi à Monaco. Diplômée d’architecture intérieure à l’Académie Charpentier à Paris en 1995, elle se diversifie en réalisant des meubles, portraits, illustrations publicitaires et cinématographiques, storyboards, scénographies, photographies, peintures, sculptures, trompe l’œil… Elle participe à des projets qui la conduisent à New York et au Bahreïn, expose dans des galeries et salons en France, en Europe et au Mexique, remportant plusieurs prix dans diverses disciplines.
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Le père de Sandra était amateur de cigares, aussi ces boîtes ont-elles toujours fait partie du quotidien de l’artiste. Elle avait l’habitude d’y stocker de petits objets, puis elle les a assemblées pour faire des meubles, avant de s’en servir comme écrin pour sa série des Pyxis, du nom de ce vase en terre servant de coffret à bijoux dans la Grèce antique.
Ce travail a pris tout son sens pendant la période du confinement, permettant à Sandra de traduire son angoisse de l’enfermement et par là-même de la conjurer. Explorant « cette boîte à multiple fond qui s’appelle l’homme” (André Breton, dans son Dictionnaire abrégé du surréalisme), Sandra Saab traduit dans ses figures d’argile le large spectre des émotions humaines : tristesse, mélancolie, passion, sensualité… Appartenant de par leur petit format à la sphère intime, ces œuvres célèbrent l’hédonisme et nous invitent au carpe diem.
Sandra Alexis Saab est née au Liban en 1972 et a grandi à Monaco. Diplômée d’architecture intérieure à l’Académie Charpentier à Paris en 1995, elle se diversifie en réalisant des meubles, portraits, illustrations publicitaires et cinématographiques, storyboards, scénographies, photographies, peintures, sculptures, trompe l’œil… Elle participe à des projets qui la conduisent à New York et au Bahreïn, expose dans des galeries et salons en France, en Europe et au Mexique, remportant plusieurs prix dans diverses disciplines.
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