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Mark Brusse - "Oeuvres choisies"

2021-10-07 / 2021-10-30
expos

En Afrique, Mark Brusse est fasciné par l’artisanat et la façon dont les savoir-faire se transmettent et se perpétuent de père en fils, avec respect et humilité. On retrouve d’ailleurs ces qualités chez l’artiste, qui va à l’essentiel, recherche l’épure, affectionne les matériaux simples comme le bois ou la terre cuite et utilise dans ses assemblages des objets trouvés au cours de ses pérégrinations, se réjouissant de ces rencontres hasardeuses et poétiques que la vie a mis sur sa route.

Lors de son séjour béninois, il est aussi frappé par l’importance du vaudou dans la vie quotidienne et en particulier par la présence à l’entrée des villages et de maisons des Legbas - statues de divinités protectrices, souvent impressionnantes. Par un phénomène troublant qu’il qualifie de « reconnaissance », il voit se matérialiser dans ces figures étrangères, mystérieuses et issues de traditions très anciennes, l’esprit de ses propres recherches : « En regardant ces Legbas, si ressemblants à certaines céramiques faites par moi ou des peintures faites dans ma chambre d’hôtel à Séoul, où les shamans faisaient leurs rituels dans les montagnes autour de la ville, je me sentais troublé, mais en même temps touché par le bonheur, me donnant l’impression de me trouver, peut-être, sur la bonne voie... » Le Legba est depuis entré dans son vocabulaire artistique, s’ajoutant aux nombreux symboles chargés de spiritualité que l’artiste emprunte tant au monde biblique qu’à d’autres traditions, venues d’Asie ou d’ailleurs : échelle, arbre, bateau, astres, exvotos (mains et cœurs). On trouve également dans son univers personnel beaucoup d’animaux et d’éléments végétaux qui témoignent d’une connexion profonde à la nature, teintée d’animisme.

 

Mark Brusse est né en 1937 à Alkmaar, aux Pays-Bas. Après des études à l’école des Beaux-Arts d’Arnhem, il s’installe à Paris en 1960. Très vite il entre en contact avec des membres de Fluxus et des Nouveaux Réalistes autour de Pierre Restany. Sa première exposition personnelle, à la Galerie du Haut Pavé en 1961, est très remarquée par la critique. Lauréat en 1965 de la bourse Harkness du Commonwealth Fund, il part pour 2 ans à New York, où il participe activement à la vie culturelle d’avant-garde. En 1968, il bénéficie d’une première exposition personnelle dans un musée, au Stedelijk Museum d’Amsterdam. En 1969 il représente seul la sculpture française à la Biennale de Paris avec une installation en bois : Occupation de l’espace. De 1970 à 1972, il travaille à Berlin, et effectue une première collaboration avec le musicien John Cage. En 1975 il participe à la Biennale de Venise et le Musée d’Art Moderne de la ville de Paris lui consacre une exposition personnelle.

Invité par Gérard Xuriguera et Pierre Restany avec 35 autres sculpteurs pour une manifestation d’art contemporain à l’occasion des Jeux Olympiques à Séoul en 1988, sa sculpture Dog’s own world de 12 mètres de hauteur sera sa première œuvre monumentale, suivie par d’autres en France, Italie, Equateur, Taïwan, Japon, Puerto Rico, Andorre, Portugal, Maroc et en Hollande à l’aéroport d’Amsterdam. Mark Brusse se rend pour de longues périodes de travail au Japon, en Corée du sud et en Amérique Latine. En 2013 il voyage, travaille et expose en Inde. Depuis 1961 il a réalisé plus de 200 expositions personnelles et ses œuvres sont présentes dans de nombreuses collections muséales françaises et internationales.

Une rétrospective lui a été consacrée au musée Het Valkhof de Nimègue aux Pays-Bas en 2019, Sometimes I wonder, une autre exposition, intitulée Shape of Silence, est prévue cette année au Museum Beelden aan Zee à La Haye.

Mark Brusse vit et travaille aujourd’hui entre Paris et Lilia (Finistère).

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  • Vallois - <p>
	En Afrique, Mark Brusse est fasciné par l’artisanat et la façon dont les savoir-faire se transmettent et se perpétuent de père en fils, avec respect et humilité. On retrouve d’ailleurs ces qualités chez l’artiste, qui va à l’essentiel, recherche l’épure, affectionne les matériaux simples comme le bois ou la terre cuite et utilise dans ses assemblages des objets trouvés au cours de ses pérégrinations, se réjouissant de ces rencontres hasardeuses et poétiques que la vie a mis sur sa route.</p>
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	Lors de son séjour béninois, il est aussi frappé par l’importance du vaudou dans la vie quotidienne et en particulier par la présence à l’entrée des villages et de maisons des Legbas - statues de divinités protectrices, souvent impressionnantes. Par un phénomène troublant qu’il qualifie de « reconnaissance », il voit se matérialiser dans ces figures étrangères, mystérieuses et issues de traditions très anciennes, l’esprit de ses propres recherches : « En regardant ces Legbas, si ressemblants à certaines céramiques faites par moi ou des peintures faites dans ma chambre d’hôtel à Séoul, où les shamans faisaient leurs rituels dans les montagnes autour de la ville, je me sentais troublé, mais en même temps touché par le bonheur, me donnant l’impression de me trouver, peut-être, sur la bonne voie... » Le Legba est depuis entré dans son vocabulaire artistique, s’ajoutant aux nombreux symboles chargés de spiritualité que l’artiste emprunte tant au monde biblique qu’à d’autres traditions, venues d’Asie ou d’ailleurs : échelle, arbre, bateau, astres, exvotos (mains et cœurs). On trouve également dans son univers personnel beaucoup d’animaux et d’éléments végétaux qui témoignent d’une connexion profonde à la nature, teintée d’animisme.</p>
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	Mark Brusse est né en 1937 à Alkmaar, aux Pays-Bas. Après des études à l’école des Beaux-Arts d’Arnhem, il s’installe à Paris en 1960. Très vite il entre en contact avec des membres de Fluxus et des Nouveaux Réalistes autour de Pierre Restany. Sa première exposition personnelle, à la Galerie du Haut Pavé en 1961, est très remarquée par la critique. Lauréat en 1965 de la bourse Harkness du Commonwealth Fund, il part pour 2 ans à New York, où il participe activement à la vie culturelle d’avant-garde. En 1968, il bénéficie d’une première exposition personnelle dans un musée, au Stedelijk Museum d’Amsterdam. En 1969 il représente seul la sculpture française à la Biennale de Paris avec une installation en bois : Occupation de l’espace. De 1970 à 1972, il travaille à Berlin, et effectue une première collaboration avec le musicien John Cage. En 1975 il participe à la Biennale de Venise et le Musée d’Art Moderne de la ville de Paris lui consacre une exposition personnelle.</p>
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	Invité par Gérard Xuriguera et Pierre Restany avec 35 autres sculpteurs pour une manifestation d’art contemporain à l’occasion des Jeux Olympiques à Séoul en 1988, sa sculpture Dog’s own world de 12 mètres de hauteur sera sa première œuvre monumentale, suivie par d’autres en France, Italie, Equateur, Taïwan, Japon, Puerto Rico, Andorre, Portugal, Maroc et en Hollande à l’aéroport d’Amsterdam. Mark Brusse se rend pour de longues périodes de travail au Japon, en Corée du sud et en Amérique Latine. En 2013 il voyage, travaille et expose en Inde. Depuis 1961 il a réalisé plus de 200 expositions personnelles et ses œuvres sont présentes dans de nombreuses collections muséales françaises et internationales.</p>
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	Une rétrospective lui a été consacrée au musée Het Valkhof de Nimègue aux Pays-Bas en 2019, Sometimes I wonder, une autre exposition, intitulée Shape of Silence, est prévue cette année au Museum Beelden aan Zee à La Haye.</p>
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	Mark Brusse vit et travaille aujourd’hui entre Paris et Lilia (Finistère).</p>
  • Vallois - <p>
	En Afrique, Mark Brusse est fasciné par l’artisanat et la façon dont les savoir-faire se transmettent et se perpétuent de père en fils, avec respect et humilité. On retrouve d’ailleurs ces qualités chez l’artiste, qui va à l’essentiel, recherche l’épure, affectionne les matériaux simples comme le bois ou la terre cuite et utilise dans ses assemblages des objets trouvés au cours de ses pérégrinations, se réjouissant de ces rencontres hasardeuses et poétiques que la vie a mis sur sa route.</p>
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	Lors de son séjour béninois, il est aussi frappé par l’importance du vaudou dans la vie quotidienne et en particulier par la présence à l’entrée des villages et de maisons des Legbas - statues de divinités protectrices, souvent impressionnantes. Par un phénomène troublant qu’il qualifie de « reconnaissance », il voit se matérialiser dans ces figures étrangères, mystérieuses et issues de traditions très anciennes, l’esprit de ses propres recherches : « En regardant ces Legbas, si ressemblants à certaines céramiques faites par moi ou des peintures faites dans ma chambre d’hôtel à Séoul, où les shamans faisaient leurs rituels dans les montagnes autour de la ville, je me sentais troublé, mais en même temps touché par le bonheur, me donnant l’impression de me trouver, peut-être, sur la bonne voie... » Le Legba est depuis entré dans son vocabulaire artistique, s’ajoutant aux nombreux symboles chargés de spiritualité que l’artiste emprunte tant au monde biblique qu’à d’autres traditions, venues d’Asie ou d’ailleurs : échelle, arbre, bateau, astres, exvotos (mains et cœurs). On trouve également dans son univers personnel beaucoup d’animaux et d’éléments végétaux qui témoignent d’une connexion profonde à la nature, teintée d’animisme.</p>
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	Mark Brusse est né en 1937 à Alkmaar, aux Pays-Bas. Après des études à l’école des Beaux-Arts d’Arnhem, il s’installe à Paris en 1960. Très vite il entre en contact avec des membres de Fluxus et des Nouveaux Réalistes autour de Pierre Restany. Sa première exposition personnelle, à la Galerie du Haut Pavé en 1961, est très remarquée par la critique. Lauréat en 1965 de la bourse Harkness du Commonwealth Fund, il part pour 2 ans à New York, où il participe activement à la vie culturelle d’avant-garde. En 1968, il bénéficie d’une première exposition personnelle dans un musée, au Stedelijk Museum d’Amsterdam. En 1969 il représente seul la sculpture française à la Biennale de Paris avec une installation en bois : Occupation de l’espace. De 1970 à 1972, il travaille à Berlin, et effectue une première collaboration avec le musicien John Cage. En 1975 il participe à la Biennale de Venise et le Musée d’Art Moderne de la ville de Paris lui consacre une exposition personnelle.</p>
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	Invité par Gérard Xuriguera et Pierre Restany avec 35 autres sculpteurs pour une manifestation d’art contemporain à l’occasion des Jeux Olympiques à Séoul en 1988, sa sculpture Dog’s own world de 12 mètres de hauteur sera sa première œuvre monumentale, suivie par d’autres en France, Italie, Equateur, Taïwan, Japon, Puerto Rico, Andorre, Portugal, Maroc et en Hollande à l’aéroport d’Amsterdam. Mark Brusse se rend pour de longues périodes de travail au Japon, en Corée du sud et en Amérique Latine. En 2013 il voyage, travaille et expose en Inde. Depuis 1961 il a réalisé plus de 200 expositions personnelles et ses œuvres sont présentes dans de nombreuses collections muséales françaises et internationales.</p>
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	Une rétrospective lui a été consacrée au musée Het Valkhof de Nimègue aux Pays-Bas en 2019, Sometimes I wonder, une autre exposition, intitulée Shape of Silence, est prévue cette année au Museum Beelden aan Zee à La Haye.</p>
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	Mark Brusse vit et travaille aujourd’hui entre Paris et Lilia (Finistère).</p>
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	En Afrique, Mark Brusse est fasciné par l’artisanat et la façon dont les savoir-faire se transmettent et se perpétuent de père en fils, avec respect et humilité. On retrouve d’ailleurs ces qualités chez l’artiste, qui va à l’essentiel, recherche l’épure, affectionne les matériaux simples comme le bois ou la terre cuite et utilise dans ses assemblages des objets trouvés au cours de ses pérégrinations, se réjouissant de ces rencontres hasardeuses et poétiques que la vie a mis sur sa route.</p>
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	Lors de son séjour béninois, il est aussi frappé par l’importance du vaudou dans la vie quotidienne et en particulier par la présence à l’entrée des villages et de maisons des Legbas - statues de divinités protectrices, souvent impressionnantes. Par un phénomène troublant qu’il qualifie de « reconnaissance », il voit se matérialiser dans ces figures étrangères, mystérieuses et issues de traditions très anciennes, l’esprit de ses propres recherches : « En regardant ces Legbas, si ressemblants à certaines céramiques faites par moi ou des peintures faites dans ma chambre d’hôtel à Séoul, où les shamans faisaient leurs rituels dans les montagnes autour de la ville, je me sentais troublé, mais en même temps touché par le bonheur, me donnant l’impression de me trouver, peut-être, sur la bonne voie... » Le Legba est depuis entré dans son vocabulaire artistique, s’ajoutant aux nombreux symboles chargés de spiritualité que l’artiste emprunte tant au monde biblique qu’à d’autres traditions, venues d’Asie ou d’ailleurs : échelle, arbre, bateau, astres, exvotos (mains et cœurs). On trouve également dans son univers personnel beaucoup d’animaux et d’éléments végétaux qui témoignent d’une connexion profonde à la nature, teintée d’animisme.</p>
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	Mark Brusse est né en 1937 à Alkmaar, aux Pays-Bas. Après des études à l’école des Beaux-Arts d’Arnhem, il s’installe à Paris en 1960. Très vite il entre en contact avec des membres de Fluxus et des Nouveaux Réalistes autour de Pierre Restany. Sa première exposition personnelle, à la Galerie du Haut Pavé en 1961, est très remarquée par la critique. Lauréat en 1965 de la bourse Harkness du Commonwealth Fund, il part pour 2 ans à New York, où il participe activement à la vie culturelle d’avant-garde. En 1968, il bénéficie d’une première exposition personnelle dans un musée, au Stedelijk Museum d’Amsterdam. En 1969 il représente seul la sculpture française à la Biennale de Paris avec une installation en bois : Occupation de l’espace. De 1970 à 1972, il travaille à Berlin, et effectue une première collaboration avec le musicien John Cage. En 1975 il participe à la Biennale de Venise et le Musée d’Art Moderne de la ville de Paris lui consacre une exposition personnelle.</p>
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	Invité par Gérard Xuriguera et Pierre Restany avec 35 autres sculpteurs pour une manifestation d’art contemporain à l’occasion des Jeux Olympiques à Séoul en 1988, sa sculpture Dog’s own world de 12 mètres de hauteur sera sa première œuvre monumentale, suivie par d’autres en France, Italie, Equateur, Taïwan, Japon, Puerto Rico, Andorre, Portugal, Maroc et en Hollande à l’aéroport d’Amsterdam. Mark Brusse se rend pour de longues périodes de travail au Japon, en Corée du sud et en Amérique Latine. En 2013 il voyage, travaille et expose en Inde. Depuis 1961 il a réalisé plus de 200 expositions personnelles et ses œuvres sont présentes dans de nombreuses collections muséales françaises et internationales.</p>
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	Une rétrospective lui a été consacrée au musée Het Valkhof de Nimègue aux Pays-Bas en 2019, Sometimes I wonder, une autre exposition, intitulée Shape of Silence, est prévue cette année au Museum Beelden aan Zee à La Haye.</p>
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	Mark Brusse vit et travaille aujourd’hui entre Paris et Lilia (Finistère).</p>
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	En Afrique, Mark Brusse est fasciné par l’artisanat et la façon dont les savoir-faire se transmettent et se perpétuent de père en fils, avec respect et humilité. On retrouve d’ailleurs ces qualités chez l’artiste, qui va à l’essentiel, recherche l’épure, affectionne les matériaux simples comme le bois ou la terre cuite et utilise dans ses assemblages des objets trouvés au cours de ses pérégrinations, se réjouissant de ces rencontres hasardeuses et poétiques que la vie a mis sur sa route.</p>
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	Lors de son séjour béninois, il est aussi frappé par l’importance du vaudou dans la vie quotidienne et en particulier par la présence à l’entrée des villages et de maisons des Legbas - statues de divinités protectrices, souvent impressionnantes. Par un phénomène troublant qu’il qualifie de « reconnaissance », il voit se matérialiser dans ces figures étrangères, mystérieuses et issues de traditions très anciennes, l’esprit de ses propres recherches : « En regardant ces Legbas, si ressemblants à certaines céramiques faites par moi ou des peintures faites dans ma chambre d’hôtel à Séoul, où les shamans faisaient leurs rituels dans les montagnes autour de la ville, je me sentais troublé, mais en même temps touché par le bonheur, me donnant l’impression de me trouver, peut-être, sur la bonne voie... » Le Legba est depuis entré dans son vocabulaire artistique, s’ajoutant aux nombreux symboles chargés de spiritualité que l’artiste emprunte tant au monde biblique qu’à d’autres traditions, venues d’Asie ou d’ailleurs : échelle, arbre, bateau, astres, exvotos (mains et cœurs). On trouve également dans son univers personnel beaucoup d’animaux et d’éléments végétaux qui témoignent d’une connexion profonde à la nature, teintée d’animisme.</p>
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	Mark Brusse est né en 1937 à Alkmaar, aux Pays-Bas. Après des études à l’école des Beaux-Arts d’Arnhem, il s’installe à Paris en 1960. Très vite il entre en contact avec des membres de Fluxus et des Nouveaux Réalistes autour de Pierre Restany. Sa première exposition personnelle, à la Galerie du Haut Pavé en 1961, est très remarquée par la critique. Lauréat en 1965 de la bourse Harkness du Commonwealth Fund, il part pour 2 ans à New York, où il participe activement à la vie culturelle d’avant-garde. En 1968, il bénéficie d’une première exposition personnelle dans un musée, au Stedelijk Museum d’Amsterdam. En 1969 il représente seul la sculpture française à la Biennale de Paris avec une installation en bois : Occupation de l’espace. De 1970 à 1972, il travaille à Berlin, et effectue une première collaboration avec le musicien John Cage. En 1975 il participe à la Biennale de Venise et le Musée d’Art Moderne de la ville de Paris lui consacre une exposition personnelle.</p>
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	Invité par Gérard Xuriguera et Pierre Restany avec 35 autres sculpteurs pour une manifestation d’art contemporain à l’occasion des Jeux Olympiques à Séoul en 1988, sa sculpture Dog’s own world de 12 mètres de hauteur sera sa première œuvre monumentale, suivie par d’autres en France, Italie, Equateur, Taïwan, Japon, Puerto Rico, Andorre, Portugal, Maroc et en Hollande à l’aéroport d’Amsterdam. Mark Brusse se rend pour de longues périodes de travail au Japon, en Corée du sud et en Amérique Latine. En 2013 il voyage, travaille et expose en Inde. Depuis 1961 il a réalisé plus de 200 expositions personnelles et ses œuvres sont présentes dans de nombreuses collections muséales françaises et internationales.</p>
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	Une rétrospective lui a été consacrée au musée Het Valkhof de Nimègue aux Pays-Bas en 2019, Sometimes I wonder, une autre exposition, intitulée Shape of Silence, est prévue cette année au Museum Beelden aan Zee à La Haye.</p>
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	Mark Brusse vit et travaille aujourd’hui entre Paris et Lilia (Finistère).</p>