L’artiste Dominique Zinkpè (1969) s’est imposé comme l’une des figures majeures de l’art contemporain. Dessinateur, peintre, sculpteur, cet enfant de Cotonou anime ses œuvres d’une palette chromatique riche, vive, et qui électrise ses figures comme une danse passionnelle et cosmique. Ce à quoi répond l’artiste, c’est à la dialectique de la terre africaine, de ses cultes et de ses références mêlées à l’universel de l’âme humaine et ses contours mouvementés.

L’exposition Corps et âme questionne l’intemporel, et illustre les croyances et les états d’âme. L’œuvre de Zinkpè est une conversation passionnée entre le tangible et le spi- rituel, les esprits qui possèdent, les esprits qui se libèrent de la chair et retrouvent leur volonté. Avec sa peinture Made in China, qui célèbre la résilience des Hommes face à la Covid-19, c’est encore le corps éprouvé par les luttes intestines, les combats que l’on mène en soi, fiévreusement, corps et âme.

Simultanément, à l’électricité spirituelle des œuvres de Zinkpè répondent les créations éclatantes du peintre, styliste et costumier Prince Toffa. Ses matières premières sont les bidons, les gobelets, le fil de fer, le plastique, les sacs, et des géométries métalliques découpées dans des canettes de soda. En créant un univers étincelant et séduisant à partir des matériaux recyclés, pratique du surcyclage, l’artiste suscite la réflexion sur les enjeux environnementaux de son pays et invite aux changements de comportements.

L’artiste Dominique Zinkpè (1969) s’est imposé comme l’une des figures majeures de l’art contemporain. Dessinateur, peintre, sculpteur, cet enfant de Cotonou anime ses œuvres d’une palette chromatique riche, vive, et qui électrise ses figures comme une danse passionnelle et cosmique. Ce à quoi répond l’artiste, c’est à la dialectique de la terre africaine, de ses cultes et de ses références mêlées à l’universel de l’âme humaine et ses contours mouvementés.

L’exposition Corps et âme questionne l’intemporel, et illustre les croyances et les états d’âme. L’œuvre de Zinkpè est une conversation passionnée entre le tangible et le spi- rituel, les esprits qui possèdent, les esprits qui se libèrent de la chair et retrouvent leur volonté. Avec sa peinture Made in China, qui célèbre la résilience des Hommes face à la Covid-19, c’est encore le corps éprouvé par les luttes intestines, les combats que l’on mène en soi, fiévreusement, corps et âme.

Simultanément, à l’électricité spirituelle des œuvres de Zinkpè répondent les créations éclatantes du peintre, styliste et costumier Prince Toffa. Ses matières premières sont les bidons, les gobelets, le fil de fer, le plastique, les sacs, et des géométries métalliques découpées dans des canettes de soda. En créant un univers étincelant et séduisant à partir des matériaux recyclés, pratique du surcyclage, l’artiste suscite la réflexion sur les enjeux environnementaux de son pays et invite aux changements de comportements.

L’artiste Dominique Zinkpè (1969) s’est imposé comme l’une des figures majeures de l’art contemporain. Dessinateur, peintre, sculpteur, cet enfant de Cotonou anime ses œuvres d’une palette chromatique riche, vive, et qui électrise ses figures comme une danse passionnelle et cosmique. Ce à quoi répond l’artiste, c’est à la dialectique de la terre africaine, de ses cultes et de ses références mêlées à l’universel de l’âme humaine et ses contours mouvementés.

L’exposition Corps et âme questionne l’intemporel, et illustre les croyances et les états d’âme. L’œuvre de Zinkpè est une conversation passionnée entre le tangible et le spi- rituel, les esprits qui possèdent, les esprits qui se libèrent de la chair et retrouvent leur volonté. Avec sa peinture Made in China, qui célèbre la résilience des Hommes face à la Covid-19, c’est encore le corps éprouvé par les luttes intestines, les combats que l’on mène en soi, fiévreusement, corps et âme.

Simultanément, à l’électricité spirituelle des œuvres de Zinkpè répondent les créations éclatantes du peintre, styliste et costumier Prince Toffa. Ses matières premières sont les bidons, les gobelets, le fil de fer, le plastique, les sacs, et des géométries métalliques découpées dans des canettes de soda. En créant un univers étincelant et séduisant à partir des matériaux recyclés, pratique du surcyclage, l’artiste suscite la réflexion sur les enjeux environnementaux de son pays et invite aux changements de comportements.

L’artiste Dominique Zinkpè (1969) s’est imposé comme l’une des figures majeures de l’art contemporain. Dessinateur, peintre, sculpteur, cet enfant de Cotonou anime ses œuvres d’une palette chromatique riche, vive, et qui électrise ses figures comme une danse passionnelle et cosmique. Ce à quoi répond l’artiste, c’est à la dialectique de la terre africaine, de ses cultes et de ses références mêlées à l’universel de l’âme humaine et ses contours mouvementés.

L’exposition Corps et âme questionne l’intemporel, et illustre les croyances et les états d’âme. L’œuvre de Zinkpè est une conversation passionnée entre le tangible et le spi- rituel, les esprits qui possèdent, les esprits qui se libèrent de la chair et retrouvent leur volonté. Avec sa peinture Made in China, qui célèbre la résilience des Hommes face à la Covid-19, c’est encore le corps éprouvé par les luttes intestines, les combats que l’on mène en soi, fiévreusement, corps et âme.

Simultanément, à l’électricité spirituelle des œuvres de Zinkpè répondent les créations éclatantes du peintre, styliste et costumier Prince Toffa. Ses matières premières sont les bidons, les gobelets, le fil de fer, le plastique, les sacs, et des géométries métalliques découpées dans des canettes de soda. En créant un univers étincelant et séduisant à partir des matériaux recyclés, pratique du surcyclage, l’artiste suscite la réflexion sur les enjeux environnementaux de son pays et invite aux changements de comportements.